Découvrez ceux qui ont osé vivre leur rêve, du 28 mars au 2 avril, lors du sommet virtuel gratuit Be Your Flow

Ce sommet est sans doute né d’une conviction profonde d’Olivia Colboc, à la fois ingénieure et pianiste intuitive : chacun est unique et libre de briller tel qu’il est dans le respect de la bienveillance et de vivre pleinement sa vie. Son intention première est d’inspirer les auditeurs à travers des témoignages forts et de leur donner de la force et du soutien dans leur mouvement vers l’expression la plus authentique d’eux-mêmes et la construction de leurs rêves.

Se déroulant sur près d’une semaine, le sommet Be Your Flow proposera chaque jour 4 ou 5 interviews pré-enregistrées et une interview live qui permettra la découverte d’une pratique : musique, danse, méditation, respiration. Chaque interview sera visualisable gratuitement pendant 48h.

Parmi la vingtaine d’intervenants (dont Brunehilde Intimayuq Yvrande, Daphnée Boulogne, Nicolas Brun, Léa Niang, Pascale Michelon, Emilie Wartel, Yor Pfeiffer…) vous pourrez notamment aller à la rencontre de :

– Mai-Lan Ripoche, coach certifiée, conférencière et guerrière pacifique qui aide les personnes à passer d’une vie subie à une vie choisie, sans faire de compromis avec leur bonheur et leur paix intérieure. Elle est également la fondatrice de l’application gratuite de méditation « Méditer avec Mai-Lan » et est suivie par près de 25 000 personnes sur sa chaîne YouTube « Les Guerriers Pacifiques » où elle transmet des clés de sagesse concrètes.

– Nathalie DocLaLuna qui accompagne les femmes dans la connexion à leur propre médecine. Après plusieurs vies en une seule où elle a pu être médecin pour les pompiers de Paris, danseuse bollywood, thérapeute ayurvédique ou encore professeure de yogathérapie, elle a tout lâché pour s’installer en Guadeloupe et créer la Tribe Empowering School : une école en ligne pour accompagner les femmes à accoucher d’un projet sans utiliser les forceps de notre société.

– Anne-Valérie Rocourt qui est passée du monde de la finance à celui de la décoration intérieure avant de devenir coach et de comprendre sa véritable mission : épauler les femmes dans le développement d’une activité alignée avec qui elles sont, en faisant de leur féminin une force, pour avoir la croissance financière et personnelle qu’elles désirent.

Pour en savoir plus sur cet événement : www.beyourflow-sommet.com

Photographie : JD Mason / Unsplash

 

Photographie : Eva Bigeard

Ce soir, suivez Matthieu Ricard et Ilios Kotsou en conférence live Facebook à la rencontre du légendaire Nasredin, à la fois sage et fou

Changer de regard, savoir reconnaître ses contradictions, avoir l’esprit d’un débutant… Voici quelques-uns des thèmes qui seront abordés et illustrés par la lecture d’une sélection d’histoires.

Matthieu et Ilios éclaireront le caractère salutaire de ces récits pleins d’humour, qui nous invitent à rire de nous-mêmes et de nos certitudes, et nous conduisent, sans en avoir l’air, à une forme de lucidité et de clairvoyance.

Pour accéder à l’événement, cliquez : ICI

Photographie : tous droits réservés

Au cœur de la forêt, nous relier…

Happinez : Que représente pour vous la forêt ? 

Clara Cornil : Enfant, la forêt a été le lieu des aventures, des peurs, des découvertes, des jeux. Je voyais la forêt de la fenêtre de ma maison, et c’était naturel de la rejoindre. En forêt, je goûtais les saveurs des saisons et, toute jeune, s’est imprégnée en moi une relation au temps particulière, que je déploie encore dans mon travail artistique. Aujourd’hui la forêt m’est un lieu de beauté, de pratiques et de connexion. Elle est ma source.

David Subal : La forêt pour moi représente le plus grand que nous. Le silence. Une vie indépendante de l’humain.

 

Pourriez-vous nous parler des projets originaux que vous créez autour de la forêt au sein de votre compagnie Les Décisifs ?

Nous nous intéressons depuis longtemps à la relation corps / nature au croisement des champs de l’art, du soin et de la transmission, ce qui nous a amené à créer des pièces chorégraphiques, des installations et des projets de territoire in situ, dans divers milieux naturels. Ces trois dernières années, nous étions concentrés sur le projet de territoire chorégraphique et anthropologique Dans les bois qui interroge une origine et une mémoire ; celle de la relation de l’humain avec la forêt. Quatre formats artistiques pluridisciplinaires et complémentaires en ont émergé : une pièce chorégraphique en forêt qui est introduite par une marche d’approche sensorielle que nous vivons ensemble, artistes et publics, les explorations sensorielles L’essence des sens qui développent le sentiment d’appartenance au vivant, une installation intitulée Diving in the leaves et ce livre, La mémoire de la forêt.

 

Aussi bien dans son contenu que par son apparence, votre ouvrage La mémoire de la forêt n’est pas un livre comme les autres…

La mémoire de la forêt rassemble des entretiens réalisés avec des habitants de tous âges qui témoignent des multiples réceptions et relations de l’homme avec la forêt. Ils sont le récit d’expériences kinesthésiques, mystérieuses, belles, puissantes, fragiles qui racontent notre humanité sensible. De ces paroles mises en textes, nous avons volontairement gardé le ton de l’oralité, trace du territoire jusque dans la langue. Artistes du corps et du mouvement, nous avons travaillé ce livre à partir de nos médiums : la page est devenue un espace chorégraphique où les principes de flux, de poids, de souffle, de rythme participent à la mise en page. La matière des papiers invite au toucher. La reliure à la suisse laisse apparaître les couches des cahiers – strates de sédimentations – et renforce le mouvement de la couverture-écorce qui vient envelopper le texte. Nous souhaitions honorer cette mémoire collective en réalisant cet objet livre qui est une création plastique, chorégraphique et poétique.

 

Il est important pour l’humanité, on le sait, de retrouver un lien avec la nature avant qu’il ne soit trop tard. En quoi nous permet-elle aussi de mieux nous connaître nous-même ?

Le corps nous rappelle que nous faisons partie de la nature, seulement on ne le vit pas ainsi ! Notre corps est une terre, connecté à la Terre – la planète – et la nature est un terrain d’exploration infini pour retrouver ce lien, cette relation organique. La nature permet de réactiver notre potentiel de connexion, endormi par nos modes de vie d’aujourd’hui. Dans la nature, on s’enracine, on se verticalise, on se relie ; nos sens nous invitent à descendre en nous-même, dans le corps, et à rencontrer l’intelligence du vivant qui s’exprime à travers nos ressentis. Réveiller nos sens, notre écoute, notre vitalité, notre disponibilité, notre intuition nous exhorte à vivre pleinement ce potentiel de reliance qui passe par la matière. C’est le mouvement de vie qui circule et qui ouvre des possibles, que le mental ne peut imaginer. Alors on se rencontre au-delà de notre construction personnelle, et on rencontre les autres et d’autres que les humains. On se vit relié, interconnecté. Ce sont ces pratiques que nous proposons dans les journées L’Essence des sens et les stages d’immersion la Terre en nous.

 

Pour vous procurer le livre : www.lesdecisifs.com/creation/la-memoire-de-la-foret

 

Propos recueillis par Aubry François

Photographie :  Andalucía Andaluía / Unsplash

 

 

Women for Bees, le programme essentiel pour la protection des abeilles et l’émancipation des femmes

À travers ce programme lancé la semaine dernière, l’UNESCO et Guerlain, en partenariat avec l’Observatoire Français d’Apidologie, se sont donnés pour mission de sélectionner ensemble des femmes désirant acquérir le savoir nécessaire pour créer, une fois de retour chez elles, leur propre exploitation et susciter, à leur tour, de nouvelles vocations apicoles.

Dès le 21 juin prochain, dix femmes originaires de cinq réserves de biosphère de la planète – comme celles des Iles et Mer d’Iroise (France), des Balkans centraux (Bulgarie), du Tonlé Sap (Cambodge), de Kafa (Éthiopie) ou encore des volcans (Rwanda) – commenceront une formation accélérée de 30 jours dans le domaine de l’OFA à la Sainte-Baume, en Provence.

À raison de 10 participantes par an, ce seront 50 femmes qui, d’ici 2025, auront appris les bases théoriques et pratiques de l’apiculture, sauront gérer un rucher professionnel et qui, en préservant les colonies d’abeilles de leur cheptel apicole, participeront à renforcer le développement de la biodiversité locale. Cela représente un effectif de 2500 ruches et donc de 125 millions d’abeilles installées dans 25 réserves de biosphère de l’UNESCO.

Accompagnées sur la durée dans leurs missions par l’OFA, en lien avec l’UNESCO et Guerlain, ces femmes pourront de plus se joindre à un réseau international d’apicultrices qui en auront toutes fait leur métier. À l’intérêt essentiel du bien-être et du repeuplement des abeilles, qui sont responsables à 90% de la pollinisation des fleurs sauvages sur l’ensemble de la planète, s’ajoute un élément aussi primordial : l’émancipation sociale des femmes, rendue possible par cette activité professionnelle durable, basée sur l’expertise.

Ce programme d’éducation et de transmission des femmes du monde entier sera parrainé par l’actrice, réalisatrice et militante humanitaire Angelina Jolie. À travers lui, les apicultrices pourront générer des revenus pour les populations rurales défavorisées et améliorer la sécurité alimentaire dans les zones où la production agricole est limitée.

Pour en savoir plus sur l’univers des abeilles : www.ofapidologie.org

Au carrefour de l’humain et de la nature. Plongez dans le quotidien d’un médecin de montagne.

Happinez : Être médecin de montagne, qu’est-ce que cela implique pour vous ?

Vincent Lecarme : C’est d’abord d’aimer et de respecter la montagne et les gens qui y vivent, de faire partie intégrante de cette vie villageoise et touristique, d’en accepter les contraintes et de jouir de ses privilèges. C’est aussi apprécier une certaine intranquillité, participer activement à la permanence des soins, composer avec l’éloignement géographique, les éléments, être polyvalent et disponible, apprendre sans cesse, accepter ses limites aussi. On vit au réel rythme des saisons et des évènements du quotidien, au plus près de personnes qui sont pour la plupart nos patients et dont nous avons la responsabilité. C’est cet engagement qui nous pousse et nous fait avancer. C’est dans cet environnement et ce type d’exercice que j’ai trouvé la place qui devait être la mienne, que j’ai pu donner et recevoir. Que pouvais-je rêver de mieux ?

Le contact avec la nature vous a-t-il offert une forme de recul par rapport à votre métier ? Avez-vous l’impression d’avoir développé une philosophie de vie dans ce lien avec les éléments ?

Je ne sépare pas la nature de ce que nous sommes, même si nous avons tout à apprendre d’elle et bien que nous la maltraitions autant. Elle m’a toujours soutenu et accompagné, surtout dans les moments difficiles et je ne manque jamais de la remercier pour toutes ses beautés, ses vérités et ses exigences. Je ne peux la dissocier de mon activité professionnelle et de mon cheminement de vie. J’y puise l’énergie autant que le calme ou l’apaisement quand ils me font défaut. Elle me donne un rythme, m’enseigne l’immuabilité de certaines choses, la magie de l’instant, les cycles de la vie. La nature m’a appris l’écoute et l’humilité, m’a montré mes imperfections, m’a offert une certaine philosophie de vie, effectivement. C’est ce qu’ont compris toutes les sociétés dites primitives, qui la vénèrent comme une mère.

Voit-on le monde changer quand on évolue pendant 35 ans dans une région qui semble justement coupée de tout ?

On est plus préservés qu’isolés, mais pas coupés de la société et de ses changements, comme on pourrait le croire. On vit dans un cadre protégé mais exigeant qui demande en permanence solidarité et solidité, ce qui ne veut pas dire immobilisme ou renfermement sur soi. Les habitants d’ici ont des grandes capacités d’évolution et d’adaptation et le tourisme permet les brassages de population avec tout ce que cela implique d’échanges et de découvertes de modèles de vie très variés. Un monde qui n’évolue pas et ne s’adapte pas meurt, c’est pareil partout. Ici, c’est encore plus vital. On est fier de ses racines, de son histoire et de son environnement, ce qui n’empêche pas d’être curieux de tout. Certains citadins pensent que l’on vit perdus au bout du monde mais c’est une vision très subjective et qui peut être vue dans les deux sens.

Qu’avez-vous appris de l’humanité à travers ces rencontres ?

Le sens du mot humanité qui me parle en premier est celui de la bienveillance et de la compassion envers autrui, et envers soi-même. Il n’y a pas de médecine efficace et épanouissante sans humanité, ce serait une antinomie. C’est le premier et le plus universel des langages de communication. Chaque rencontre, pour peu qu’on en ait le désir ou la curiosité, peut être un cadeau, un défi, un apprentissage, une découverte. C’est parfois difficile, parfois évident, jamais inutile. Chaque personne, chaque être vivant, aussi unique soit-il, est un tout en soi et le tout lui-même. C’est quand on découvre ce qui nous rapproche que les choses avancent, que les barrières peuvent tomber. Ce bien qui nous est commun et nous fait appartenir à la communauté des humains, que l’on nomme tout simplement humanité. Elle est peut-être bien là la véritable aventure ?

En tant que médecin, êtes-vous en paix avec l’idée de finitude ?

Je sais que c’est une réalité intangible et indissociable de la naissance, que mon métier m’a maintes fois rappelée, ma vie personnelle aussi. La peur de la mort peut gâcher la vie parce qu’elle est aussi une peur de la vie. Qui sait, puisque notre conscient n’en n’a pas souvenir, si pour l’enfant qui va naître, cette naissance n’est pas ressentie elle aussi comme un franchissement douloureux, une finitude ? Il y a eu un avant-nous et il y aura un après-nous, ce n’est pas forcément une fin, c’est plutôt une continuité, une transformation permanente. Nos émotions, nos liens, notre humanité, nos mémoires, nos sentiers de vie sont des biens communs, à disposition de chacun. Nous avons très peur de la solitude, autant que de la finitude, alors que nous faisons probablement partie d’un tout. C’est en tout cas ce que j’ai appris et vécu dans mon exercice. La vie au présent ne disparaît pas, elle est comme l’enfance, simplement elle passe. C’est ce qui la rend infiniment précieuse.

 

Propos recueillis par Aubry François

Photographie : Sylwia Bartyzel / Unsplash

 

Photographie : Bruno Ramain

Ouvrez votre cœur aux animaux, guérisseurs de l’âme. Entretien avec Peggy Reboul

Happinez : Quand avez-vous découvert votre médiumnité et comment se traduit-elle ?

Peggy Reboul : Lorsque j’étais enfant, je voyais et j’entendais les esprits se manifester dans les différentes maisons où j’habitais. Quand j’en parlais à ma mère, celle-ci n’était pas surprise. Elle me rassurait et me disait simplement de ne pas en parler autour de moi. Lorsque je suis entrée au collège, vers onze ans, j’ai voulu être comme tout le monde, car je souffrais déjà beaucoup d’être perçue comme une enfant différente des autres. Alors j’ai fermé les portes de cette médiumnité, jusqu’à ma quarantième année, celle de l’accident vasculaire cérébral. Aujourd’hui j’entends et je suis canal, principalement clairaudiente. Je précise cependant qu’il n’est pas nécessaire d’être médium pour communiquer avec les animaux, c’est un simple échange télépathique. Il suffit de se connecter de cœur à cœur avec l’animal et d’accueillir avec amour ce qu’il nous dit.

Pouvez-vous nous raconter l’épisode de votre vie durant lequel des animaux vous ont aidé à guérir d’une maladie ? 

Au fil de mon ouvrage, j’explique ce que leur présence à mes côtés m’a permis de soigner et combien ils m’ont guidé dans mon évolution spirituelle. Quand j’ai pris conscience que ma chatte Fela et mon cheval Anda-luz souffraient des mêmes maux (difficultés respiratoires, cœur fatigué, système immunitaire défaillant), j’ai compris qu’ils me montraient en miroir ce qui n’allait pas chez moi. Cela m’a amené à une guérison, à la fois physique et spirituelle. En avançant vers ma propre guérison, j’ai vu mes animaux aller mieux. Ma jument Rhéa a été pour moi un véritable guide ; Elle m’a appris à revenir dans mon cœur et dans mon Être au lieu de faire. Elle m’a obligée à plus d’authenticité et a soigné les blessures de mon enfant intérieur.

Que nous apprennent les animaux sur nous-mêmes ?

Ils sont parfois notre miroir : le chat d’un gardien anorexique peut refuser de s’alimenter et se laisser dépérir. Il alerte ainsi l’humain sur le danger auquel il s’expose et l’incite à réagir. Ils peuvent au contraire adopter un comportement qui va aller à l’encontre de celui du gardien : aboyer beaucoup pour le stimuler et essayer de le sortir d’un immobilisme pesant ou d’un état dépressif. Les animaux nous apprennent à revenir dans l’instant présent, à nous affranchir du passé, à nous émerveiller, à nous relier à notre propre nature. Ils nous ramènent à la congruence et un alignement à notre âme.

Ne ressentent-ils pas de colère par rapport aux mauvais traitements que les humains leur font subir – je pense ici à la production de viande ?

Si bien-entendu. Au fond ils ne sont pas opposés à l’idée de nourrir l’humain. Mais ils souffrent avant tout de son manque de reconnaissance. Ils nous demandent de consommer leur chair en conscience, et de donner un caractère sacré à cet acte. Ils auraient avant tout besoin d’être remerciés de donner leur vie pour préserver la nôtre et de mourir dignement. Parfois dans les élevages intensifs, la souffrance est telle que les bêtes de certains troupeaux tombent malades toutes en même temps. Ce que l’on nomme épidémie peut en fait être un suicide collectif. Certaines vaches à viande refusent d’une certaine façon la gestation, elles perdent leur veau ou mettent bas par césarienne. Elles sont alors jugées improductives et partent à l’abattoir. C’est pour elles un moyen de refuser ce système. Elles ne veulent pas donner leur bébé. Elles préfèrent mourir.

Quel lien les animaux entretiennent-ils avec les mondes spirituels ?

J’ai remarqué que, depuis une dizaine d’année, les animaux domestiques ont changé. Certains d’entre eux sont là pour accompagner l’humain vers une prise de conscience et une évolution spirituelle. Certains sont en lien avec des êtres de lumière et coopèrent avec eux. D’autres ne sont pas que des animaux. Je veux dire par là que leur essence est bien plus vaste que cela. Il peut y avoir des êtres spirituels qui se présentent sous la forme d’un animal parce que le gardien a besoin de le voir et de le sentir dans la matière. Souvent d’ailleurs ils peuvent se présenter sur un temps très court auprès de l’humain. Ma jument Rhea fait partie de ces êtres. Elle est rentrée dans ma vie sous cette forme incarnée, pour disparaitre très rapidement. Lorsque je me connecte à elle, c’est une forme blanche scintillante que je perçois. Sa vibration est particulière et je ressens une puissance incroyable. Rhéa est une déesse du peuple de la nature. Elle est venue dans ma vie pour me signifier que j’étais une enfant de la Terre, particulièrement en lien avec le règne animal et la nature en général. Elle est venue me confirmer que mon rôle était de faire le lien entre le visible et l’invisible et de reconnecter l’humain à la nature afin qu’il retrouve sa vraie nature.

Quels seraient vos conseils pour établir une communication avec un animal ?

Ne pas vouloir faire et obtenir un résultat, mais juste être, là, ici et maintenant dans le moment présent. Juste assis les yeux fermés à côté de l’animal. Revenir dans son cœur et ses racines. Sentir le lien qui nous unit à la terre et au ciel. Sentir cette verticalité. Imaginez que nous sommes un arbre au milieu d’une forêt. Respirer profondément. Écouter et ressentir ce qui nous habite et ce qui se manifeste autour de nous. S’abandonner à la rencontre. Laisser les énergies, les vibrations nous traverser. Imaginez que cet animal devant nous vient à notre rencontre au pied de cet arbre et laissez venir les images, les sensations dans le corps, les mots, les phrases, les odeurs, les sons, les émotions. Notez tout ce qui nous traverse au fur et à mesure.  C’est aussi simple que cela.

 

Propos recueillis par Aubry François

Photographie : tous droits réservés

 

Du 10 au 23 mars 2021, participez au grand concours de la marque de mode éthique et responsable Gulshaan

Avec son univers à part entière inspiré des routes de la soie, du courage des femmes afghanes, de la poésie pakistanaise et de la bohème parisienne, la marque Gulshaan repense le mode de vie des âmes voyageuses. Elle mène aussi un projet social au Pakistan et en Afghanistan auprès des femmes, et en France auprès des réfugiés.

Après un an de travail sur la nouvelle version de son site internet, la marque basée entre Paris et la Pakistan a mis au point un nouveau modèle économique encore plus durable. Pour l’occasion, Gulshaan organise un grand concours avec 10 partenaires aux valeurs écoresponsables qui offriront chacun un lot de leur choix. Parmi ces lots : un weekend pour 2 personnes à L’Écrin de Rûmi, lieu magnifique situé dans le 77, un bon d’achat de 150€ à valoir sur la e-boutique Gulshaan⁠, mais aussi 5 abonnements au magazine Happinez.

Pour participer au concours, abonnez-vous au compte Instagram de Gulshaan, taguez des amis en commentaire du post du concours, partagez le post du concours en story et inscrivez-vous par mail sur le lien indiqué sur la bio.

Toutes les infos ICI

 

Contribuez à la recherche sur l’endométriose

Qu’est-ce que l’endométriose ? Cette maladie gynécologique se caractérise par la présence de foyers d’endomètre en dehors de la cavité utérine.

Ses conséquences peuvent être importantes sur la vie des femmes, allant parfois jusqu’à l’infertilité.

Ses manifestations (symptômes, douleurs, impacts) varient fortement d’une personne à l’autre.

Les causes et les mécanismes de la maladie sont très mal connues (facteurs directement liés aux menstruations, mais aussi facteurs génétiques et environnementaux).

ll n’y a aujourd’hui aucun traitement contre l’endométriose et aucune méthode de diagnostic non invasive. Pour progresser sur ces enjeux, il faut un financement de la recherche sur l’endométriose.

C’est le premier défi que s’est donné l’association Info-Endométriose – qui mène des actions de plaidoyer depuis 2016 auprès des politiques et des pouvoirs publics – pour améliorer la connaissance de la maladie, le diagnostic et les traitements.

Vous pouvez aider l’association à faire progresser la connaissance, le diagnostic et les traitements contre l’endométriose en participant à la campagne de dons qu’elle organise en partenariat avec France Télévisions : www.info-endometriose.fr

Photographie : Tomasz Suliga / Unsplash

Chaque samedi de mars, créez votre mini herbier avec l’atelier en ligne du MAIF Social Club

Lors de cet atelier en quatre parties, animé par Marie et Julie, duo de paysagistes passionnées, vous apprendrez différentes méthodes de séchage des fleurs et composerez, avec tous les végétaux proposés, un mini herbier que vous pourrez conserver longtemps.

Vous recevrez le kit herbier composé d’un bouquet et d’un cadre chez vous, par voie postale. Toutes les informations de connexion vous seront transmises quelques jours auparavant.

Il vous suffira de prévoir : une paire de ciseaux, une pince à épiler, un chiffon et du produit pour les vitres.

Pour vous inscrire : ICI

Samedi 27 février, savourez en live les mélodies comiques du duo Aïe love you

Yor Pfeiffer, auteur-compositeur-interprète, écrivain et chroniqueur dans Happinez, chante avec sa complice Amandine Forner, une fabuleuse chanteuse/comédienne.

Ils interprètent en duo des impertinences audacieuses de Georges Brassens, Ricet Barrier, Brigitte Fontaine, Colette Renard, Patachou, Marie Dubas et Boris Vian… agrémentées de quelques compositions, pour rire mais pas que… de nos travers amoureux.

Le replay du concert sera disponible en ligne à partir de 21h.