Découvrir que l’on a tort est la seule façon d’être sûre d’apprendre quelque chose…

Imaginez-vous plongée dans l’univers d’Adam Grant, psychologue organisationnel de renom. Sa pensée est un souffle de fraîcheur qui nous invite à revisiter nos croyances les plus ancrées. Dans une entrevue captivante, il nous emmène à travers un voyage introspectif où réexaminer nos certitudes devient une clé pour une vie plus épanouie et pleine de sens.

Adam Grant compare notre esprit à celui d’une grenouille placée dans une casserole d’eau chauffée progressivement : si nous ne prêtons pas attention aux changements subtils autour de nous, nous risquons de nous retrouver coincés dans des situations qui ne nous servent plus. Il nous encourage à faire preuve de “modestie confiante”, une attitude où la confiance en soi et l’humilité coexistent. Cette approche nous permet d’accepter que nous ne savons pas tout et de rester ouverts à de nouvelles connaissances.

Dans notre monde en perpétuelle évolution, il est crucial de remettre en question nos convictions et d’être prêts à désapprendre pour mieux réapprendre. Grant souligne que la richesse psychologique – une vie riche en expériences variées et stimulantes – est essentielle pour notre bonheur. C’est cette capacité à s’adapter et à évoluer qui nous empêche de stagner et de nous enliser dans des habitudes dépassées.

Il évoque également l’importance de cultiver un “réseau contradictoire” : des personnes qui n’ont pas peur de nous défier et de remettre en question nos idées. Ces interactions sont vitales pour notre croissance personnelle, car elles nous poussent à reconsidérer nos points de vue et à affiner notre compréhension du monde.

Enfin, Grant nous rappelle que la vraie sagesse réside dans la reconnaissance de notre ignorance. En adoptant cette posture, nous ouvrons la porte à un apprentissage continu et à une plus grande sagesse.

En somme, Adam Grant nous invite à embrasser le doute et la remise en question comme des forces motrices de notre épanouissement personnel. À travers ses mots, il nous pousse à sortir de notre zone de confort, à accepter l’incertitude et à célébrer la joie d’apprendre et de grandir. C’est un appel à vivre pleinement, avec curiosité et humilité, dans un monde en constante transformation.

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Qu’est-ce qui est suffisant ?

Dans un monde où l’excès et l’accumulation semblent être la norme, Sarah Domogala nous invite à redécouvrir la beauté de la suffisance. Son récit commence par une rencontre “transformative” avec Dona Marquesa, une femme des montagnes péruviennes, qui incarne une vie simple et connectée à la nature. À travers cette expérience, Sarah apprend à se libérer du superflu et à apprécier l’essentiel.

Elle nous transporte dans un voyage introspectif où chaque rituel de gratitude devient une célébration de la vie. Les petits gestes, les moments de silence, et les simples plaisirs prennent une nouvelle signification. Sarah illustre comment la pratique de la gratitude peut transformer notre perception de l’abondance et du besoin, nous menant vers une existence plus harmonieuse et satisfaisante.

Avec une plume poétique et chaleureuse, elle nous rappelle que la véritable richesse réside dans l’appréciation de ce que nous avons déjà. Écouter notre intuition et faire confiance en la vie sont des clés pour trouver cette suffisance. Elle évoque la liberté qui découle de la simplicité, et comment, en se débarrassant des attentes sociétales, nous pouvons trouver un bonheur durable et une connexion profonde avec le monde qui nous entoure.

Ainsi, Sarah Domogala nous offre un hymne à la simplicité et à la gratitude, un appel à redécouvrir le plaisir de l’ordinaire et à célébrer chaque instant avec un cœur ouvert. Dans ce récit, chaque lecteur est invité à trouver sa propre voie vers la suffisance, à dire « assez » et à embrasser la beauté de la vie quotidienne.

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Renforcer l’amour de soi… Rencontre avec Sarah Bartlett

Sarah Bartlett, auteure britannique renommée en sorcellerie et magie, mêle art, mythologie et astrologie pour révéler des vérités profondes. Formée en astrologie psychologique après des études d’art, elle vit entre Londres et le sud de la France, où elle enseigne et écrit des horoscopes.

Lors d’une conversation ensoleillée via Zoom, Sarah partage son expérience mystique : « Adolescente, en peignant ou écrivant, je ressentais une énergie cosmique. L’art donne forme à cette perception mystique, tout comme l’astrologie, qui m’a révélé des vérités profondes après des relations destructrices. »

Les mythes et légendes, selon elle, disent l’indicible et nous relient à des forces supérieures : « Qu’il s’agisse de mythes celtes ou grecs, ces récits nous enseignent notre place dans un tout plus grand. Une phrase d’une incantation peut éveiller notre âme, nous reliant au monde naturel. »

En Malaisie, de neuf à onze ans, elle découvre la magie à travers une femme chinoise qui utilisait des cristaux pour éloigner les fourmis volantes. « J’ai appris que tout dans la nature a une énergie propre. Aujourd’hui encore, je garde une pierre cristalline trouvée là-bas, symbole d’une connexion profonde. »

Pour Sarah, la sorcellerie est une relation réciproque avec la nature : « Une pierre, un arbre, tout vibre d’une énergie divine. En enlaçant un chêne, je sens qu’il m’enlace en retour. La magie, c’est collaborer avec le divin tout en restant ancrée sur terre. »

L’amour, central dans son dernier livre, est une force universelle : « L’amour, qu’il soit romantique, platonique ou familial, nous grandit. Cultiver un amour mystique nous connecte à notre essence sacrée, indépendamment des relations. »

Sarah conclut sur l’harmonie du corps et de l’âme : « Le corps est un miroir de l’âme. Ne doutez jamais de sa sagesse. La magie, c’est vivre en accord avec son âme et le monde, avec amour et conscience. »

Sarah Bartlett nous invite à une exploration mystique où l’art, l’astrologie et la nature fusionnent pour révéler notre essence divine.

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La peau, miroir de l’Âme

L’ayurvéda, ancienne médecine indienne, considère la peau comme un reflet de notre santé globale. Liese van Dam, thérapeute ayurvédique, souligne que les soins de la peau ayurvédiques privilégient la santé et l’équilibre plutôt que l’apparence. La peau, barrière entre le monde intérieur et extérieur, montre notre bien-être par son état.

L’ayurvéda enseigne que la vie et la nature sont interconnectées. Notre bien-être dépend des éléments (terre, eau, feu, air, espace), des doshas (Vata, Pitta, Kapha) et de notre situation actuelle. Par exemple, un rhume peut résulter de déséquilibres entre ces facteurs. Chaque élément est représenté dans notre corps : la terre dans nos os, l’eau dans notre salive, le feu dans notre digestion, l’air dans nos mouvements et l’espace dans nos cavités corporelles.

Les doshas Vata, Pitta et Kapha, gardiens de l’équilibre, représentent des combinaisons d’éléments. Vata (air et espace) régule le mouvement, Pitta (feu et eau) contrôle la transformation, et Kapha (terre et eau) assure la stabilité. L’équilibre de ces doshas, par le régime alimentaire et le mode de vie adapté aux saisons, est crucial pour la santé physique, mentale et émotionnelle.

La peau, avec ses “mille bouches”, absorbe tout ce qui la touche, influençant notre santé. Les xénœstrogènes, présents dans de nombreux produits, peuvent perturber l’équilibre hormonal. Liese conseille de choisir des produits de soin dont les ingrédients seraient acceptables à ingérer. L’état de la peau reflète aussi notre bien-être mental et émotionnel, car pensées et sentiments s’y manifestent.

L’ayurvéda, en intégrant le soin de la peau et l’équilibre des doshas, nous guide vers une harmonie intérieure et extérieure. En vivant en accord avec les éléments et en adoptant des pratiques saines, nous atteignons une santé globale, véritable essence de cette ancienne sagesse indienne.

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La Roue de Médecine : Une carte de Vie Sacrée

Les Saisons Intérieures

Daan van Kampenhout, expert en chamanisme, explique que les saisons existent en nous, reflétant l’inspiration du printemps, l’action de l’été, la réflexion de l’automne et le calme de l’hiver. Chaque direction de la roue représente une étape : le lancement, l’exécution, l’aboutissement et la pause, toutes essentielles pour un équilibre harmonieux.

Une Carte Intérieure

La roue de médecine nous invite à voir les saisons comme un miroir de nos potentiels. Elle nous permet de structurer notre monde intérieur, clarifiant nos schémas de pensée et de comportement. La roue devient un outil pour naviguer nos vies, en associant nos expériences aux cycles de la nature.

Couleurs et Symboles

Les traditions varient, mais Daan van Kampenhout utilise une roue colorée : jaune pour l’est, rouge pour le sud, noir pour l’ouest et blanc pour le nord, avec un centre vert symbolisant notre être. La périphérie bleue peut être ornée de fleurs ou de confettis, symbolisant le soutien spirituel.

S’aligner avec la Roue

En se plaçant symboliquement sur la roue, nous pouvons ressentir les caractéristiques des saisons et directions. L’est, avec son énergie de renouveau, inspire la connexion au monde. Le sud, lié à l’été, représente la maturité et la responsabilité. L’ouest, automnal, invite à l’introspection et au lâcher-prise, tandis que le nord hivernal symbolise le calme et la réflexion.

Pratiques Quotidiennes

Utiliser la roue au quotidien, en méditant sur chaque direction, renforce notre connexion aux cycles naturels. Visualiser les points cardinaux, invoquer leurs énergies, nous aide à équilibrer nos vies. Par exemple, l’est pour de nouvelles idées, le sud pour l’action, l’ouest pour le lâcher-prise, et le nord pour le calme.

Une Sagesse Ancestrale

La roue est une voie spirituelle sans but final, un cercle d’apprentissage continu. Les personnes âgées, ayant parcouru cette roue maintes fois, apportent une sagesse précieuse. Leur recul et leur expérience sont des ancrages pour les jeunes générations.

Intégration et Harmonie

En intégrant la roue à notre vie, nous trouvons des solutions équilibrées et restaurons l’harmonie. Chaque fin porte le germe d’un nouveau commencement. Cette pratique nous reconnecte à la nature, éveillant un sentiment de plénitude et d’unité.

Un Voyage Intérieur

La roue de médecine, avec ses animaux totems et esprits de la nature, devient un guide pour explorer notre monde intérieur. Par la méditation et la création de notre propre roue, nous embrassons notre essence spirituelle, trouvant équilibre et paix dans le grand cercle de la vie.

PHOTOGRAPHIE ERIC VAN LOKVEN STYLISME MARITA JANSSEN
AVEC LA PARTICIPATION DE WINKELVANMOOS.NL (PETIT FEU EN FEUTRINE) ET ODEAANDEYONI.COM (BÂTON DE QUARTZ ROSE ET SON SAC EN VELOURS)

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Le Féminin Sacré : Une renaissance de la puissance intérieure

Le féminin sacré est une voie mystique, une quête intérieure qui invite chaque femme à renouer avec son essence profonde et sauvage. Il évoque les archétypes féminins, ces figures ancestrales et mythologiques qui incarnent des aspects de notre âme. Les archétypes tels que la Vierge, la Mère, la Guerrière et la Sorcière, sont autant de facettes de notre être, chacune apportant sa sagesse et sa puissance unique.

Les sabbats et les solstices rythment cette danse sacrée, marquant les temps forts de l’année où la nature et les énergies féminines s’entrelacent dans une harmonie céleste. Chaque sabbat, du lumineux Imbolc au mystérieux Samhain, est une invitation à célébrer la vie, à honorer les cycles naturels et à embrasser les transformations intérieures. Les solstices, avec leur lumière changeante, nous rappellent le flux constant de la vie, la naissance et la mort, l’épanouissement et le retrait.

Sur la voie qui mène à la rencontre de nous-même, nous découvrons la femme sauvage en nous, celle qui est libre, intuitive, et profondément connectée à la terre. Cette femme sauvage est la gardienne des mystères, celle qui sait écouter les murmures du vent et les chants des étoiles. Elle est l’âme indomptable qui danse avec les cycles lunaires, qui célèbre sa force et sa vulnérabilité avec la même ferveur.

Le lien à la nature est au cœur du féminin sacré. En nous reconnectant aux rythmes naturels, nous développons une écologie intérieure, une compréhension profonde de notre place dans le grand cercle de la vie. L’écoféminisme, mouvement qui lie la lutte pour la protection de la terre à celle des droits des femmes, nous rappelle que nous sommes les gardiennes de la terre, responsables de son bien-être et de sa prospérité.

Les gardiennes de la terre sont celles qui honorent les cycles de la vie, qui respectent les saisons et les rythmes naturels. Elles sont les protectrices des forêts, des rivières et des montagnes, les défenseures des êtres vivants et des écosystèmes fragiles. En célébrant les sabbats et les solstices, nous affirmons notre engagement à vivre en harmonie avec la nature, à respecter et à protéger notre planète.

Chaque saison apporte ses enseignements et ses bénédictions. L’hiver nous invite au recueillement et à la réflexion, le printemps à la renaissance et à la croissance, l’été à la plénitude et à la célébration, et l’automne à la récolte et à la gratitude. En honorant ces cycles, nous alignons notre vie avec les rythmes naturels, nous trouvons l’équilibre et la sérénité.

Le féminin sacré nous guide vers une vie plus authentique et épanouie, où chaque moment est vécu avec conscience et respect. En cultivant cette connexion sacrée, nous retrouvons notre puissance de sorcière, cette force intérieure qui nous permet de créer, de guérir et de transformer. Nous devenons des êtres de lumière et de sagesse, des femmes en harmonie avec elles-mêmes et avec le monde qui les entoure.

Ainsi, sur cette voie sacrée, nous apprenons à vivre pleinement, à célébrer chaque instant, et à honorer la divine féminité qui réside en chacune de nous. Nous devenons les gardiennes de notre propre vérité, les protectrices de notre planète, et les porteuses de la sagesse ancestrale.

Pour aller plus loin

Le féminin sacré au rythme des saisons

 

Le secret de l’astrologie

Comment un horoscope peut-il toucher si profondément, comme si quelqu’un qui ne vous a jamais vu connaissait vos secrets les plus intimes ? Johanna Blok, notre astrologue résidente, partage la force cachée de la “lecture des étoiles”.

La révélation

Pour de plus en plus de personnes, l’astrologie est une source d’‘insights” sages et de connaissance de soi. Un bon horoscope révèle vos qualités, potentiels et vos pièges, aidant à voir votre vie sous un angle plus large. Il peut aussi indiquer où vous en êtes dans votre développement à un moment donné. Il y a une assurance à savoir que d’autres ont traversé ces crises avant vous et que vous réussirez aussi. L’astrologie peut également vous guider dans les choix les mieux adaptés à votre chemin.

La science et les sceptiques

Autrefois, on croyait que les planètes et les étoiles nous influençaient de loin par leurs rayonnements électromagnétiques. Aujourd’hui, cette notion est abandonnée. Les astres ne nous font rien faire et ne prédisent pas notre destin inéluctable. Nous faisons nos choix et dirigeons nos vies, bien que des événements imprévus puissent nous pousser à changer de direction. Malgré cela, un horoscope peut révéler des informations personnelles sans violer notre intimité, touchant souvent juste.

Le pouvoir des archétypes

Les planètes et les signes du zodiaque fonctionnent comme des archétypes, des symboles universels issus de l’inconscient collectif. Par exemple, Vénus, associée à la beauté et à l’amour, représente une part de l’anima dans l’homme. Ces archétypes rendent l’astrologie touchante et signifiante pour chacun, car ils résonnent avec notre expérience humaine universelle.

Les cycles planétaires

Les planètes tournent autour du soleil avec des périodes spécifiques, marquant des moments charnières dans nos vies. Par exemple, Saturne prend environ 29 ans pour faire un tour complet, ce qui coïncide avec des crises et des décisions importantes à 28 et 56 ans. Ces cycles aident à comprendre les transitions et les phases de la vie.

L’astrologie et la synchronicité

Carl Jung a proposé le concept de synchronicité, l’idée que ce qui se passe dans le cosmos est en lien avec les événements terrestres, une sorte de “comme en haut, ainsi en bas”. Les positions planétaires peuvent être vues comme des baromètres indiquant les tendances de nos vies, sans pour autant être des forces dirigeantes.

Les éléments du zodiaque

Les douze signes du zodiaque sont divisés en quatre éléments : feu, terre, air et eau, chacun représentant différents aspects de la personnalité humaine. Ces éléments permettent de classifier les traits communs et d’offrir une compréhension plus nuancée de nos comportements et de nos inclinations.

La quête de reconnaissance

L’astrologie donne aussi un sentiment de validation et de reconnaissance de nos luttes et réussites. Elle offre une perspective réconfortante, expliquant pourquoi nous nous sentons spéciaux et uniques tout en traversant des expériences universelles. Elle peut aussi servir d’excuse réconfortante pour nos échecs, un besoin profondément humain de compréhension et de consolation.

Une sagesse intemporelle

En fin de compte, l’astrologie est une philosophie de vie riche en symboles, leçons de vie et insights psychologiques. Même le meilleur horoscope ne peut rien révéler que vous ne sachiez déjà au fond de vous. Il éclaire simplement ce qui était déjà là, vous aidant à en prendre conscience et à vivre en harmonie avec le grand cosmos.

 

Pour aller plus loin  :

Astrologie, un cadeau des étoiles

 

Bienfaits du Reiki

Le Reiki, mot japonais signifiant “énergie vitale universelle”, est une pratique ancienne qui trouve ses racines dans le Japon du début du XXe siècle. Fondé par Mikao Usui, un moine bouddhiste, le Reiki est né de la quête spirituelle d’Usui pour découvrir les secrets de la guérison spirituelle. Après une retraite de vingt et un jours sur le mont Kurama, Usui aurait reçu une révélation spirituelle qui lui permit de canaliser l’énergie universelle pour guérir.

Le Reiki repose sur la croyance que l’énergie vitale circule à travers nous et constitue ce qui nous maintient en vie. Lorsque cette énergie est perturbée, cela peut entraîner des maladies et des déséquilibres. Le praticien de Reiki agit comme un canal pour cette énergie, en posant les mains sur ou au-dessus du corps du receveur, facilitant ainsi le flux de cette énergie bienfaisante.

Les bienfaits du Reiki sont multiples et variés. Sur le plan physique, il aide à soulager la douleur, accélérer la guérison des blessures, et renforcer le système immunitaire. Sur le plan émotionnel, il apporte une profonde détente, réduit le stress et l’anxiété, et favorise un sentiment de paix intérieure. Le Reiki agit également sur le plan spirituel, en aidant les individus à se reconnecter avec leur essence intérieure et à trouver un sens plus profond à leur existence.

Les séances de Reiki sont des moments de pure sérénité. Le receveur s’allonge, généralement vêtu, dans un environnement calme et apaisant. Le praticien pose délicatement ses mains sur différents points du corps, appelés chakras, pour faciliter le flux d’énergie. Certains ressentent une chaleur douce, des picotements, ou une sensation de flottement, tandis que d’autres trouvent simplement une paix profonde.

L’un des aspects les plus remarquables du Reiki est sa simplicité et son accessibilité. Aucun équipement spécial n’est nécessaire, et il peut être pratiqué n’importe où. De plus, le Reiki ne se limite pas aux séances en personne ; il est également possible d’envoyer cette énergie à distance, offrant ainsi une guérison même à ceux qui sont loin.

En Occident, le Reiki a gagné en popularité au cours des dernières décennies, intégrant les hôpitaux et les centres de soins. De nombreux professionnels de la santé reconnaissent désormais ses bienfaits comme un complément aux traitements médicaux traditionnels. En effet, des études ont montré que le Reiki peut réduire les effets secondaires des traitements, améliorer la qualité de vie des patients, et même diminuer la durée des séjours à l’hôpital.

Le Reiki, bien plus qu’une simple technique de guérison, est une invitation à redécouvrir la sagesse ancienne et à renouer avec l’énergie qui nous entoure et nous habite. Il nous rappelle que la véritable guérison commence à l’intérieur, dans cette danse harmonieuse entre le corps, l’esprit et l’âme. Dans le monde frénétique d’aujourd’hui, le Reiki offre une oasis de tranquillité et de revitalisation, un retour à l’équilibre naturel qui réside en chacun de nous.

Pistache, graine à bienfaits

Superaliment

Elle est une des stars de l’apéro, mais elle a plus d’un tour dans sa coque. La pistache est certes associée à son caractère convivial, mais le fruit sec a d’autres vertus. Il est riche en protéines : une portion de 100 grammes en comprend environ 25 grammes. Des recherches menées par l’Université de l’Illinois (rapport paru en mars 2020) confirment ce constat, en considérant les pistaches grillées cultivées sur le territoire américain. Depuis, ces dernières ont officiellement rejoint les rangs des sources de protéines végétales complètes, comme le quinoa, les pois chiches ou les graines de soja. Le terme complet ici relevé implique qu’elles contiennent les 9 acides aminés dits essentiels.

La docteure Arianna Carughi, conseillère scientifique auprès de l’organisation American Pistachio Growers, précise : « 20 acides aminés sont incorporés dans les protéines, mais les neuf indispensables ne sont pas fabriqués par le corps humain et doivent donc être apportés par l’alimentation ». Nigel Mitchell, diplômé en sciences et en diététique, auteur de The Plant Based Cyclist et nutritionniste sportif en Angleterre renchérit : « Nous savions depuis longtemps que les fruits à coque contenaient des protéines, mais nous savons maintenant que les pistaches grillées possèdent les neuf acides aminés en quantités suffisantes pour constituer une source de protéines complètes » notant « une grande nouvelle, tout particulièrement pour les adultes actifs et les sportifs » relevant la facilité de transport de la petite oléagineuse ainsi que son aspect prêt à consommer, aucune préparation ou cuisson étant nécessaire.

S’affirmant en substitut aux protéines carnées, la pistache est également source de potassium, utile à l’activité musculaire, de fibres et de vitamine B6 – profitables pour la digestion. Plus inattendu, ses phytonutriments (lutéine et zéaxanthine) aident à protéger les yeux des lumières bleue et ultraviolette.

La pistache en voyage

Derrière la surnommée petite amande verte, une histoire millénaire. Les premiers pistachiers ont été plantés quelque part dans la Perse antique et les suivants sur les territoires environnants du Moyen-Orient. En 1723, le Dictionnaire universel de commerce, précise qu’« on fait de la pistache d’excellentes dragées ». Elle a traversé la Méditerranée quelques décennies plus tôt et si sa culture s’installe en Italie et dans le Sud de la France, celle en provenance d’Asie Mineure reste la préférée.

Au 20ᵉ, elle connaît un nouvel élan de l’autre côté de l’Atlantique et l’homme de la situation est alors un dénommé William E. Whitehouse. En 1929, le botaniste américain rapporte d’un séjour en Perse des pistaches de variétés différentes, qu’il fait planter dans la région californienne de Central Valley : le sol y est fertile, le climat sec et chaud, l’hiver modérément froid.

C’est une noix qu’il a ramassée aléatoirement dans les vergers de la famille Agah, sur le plateau central iranien, qui offrira l’essai le plus concluant une décennie plus tard ; 7 à 10 ans étant nécessaire pour faire pousser un verger. La première variété américaine est nommée Kerman, mais il faudra bien du temps pour obtenir un fruit robuste et pérenne. Dans les années 60, la Californie, puis par la suite l’Arizona et le Nouveau-Mexique, se parent de pistachiers, qui se pollinisent entre eux par la force du vent (un arbre mâle pollinise jusqu’à 30 arbres femelles).

La première récolte commerciale de pistaches, datant de 1976, s’élève à 680 tonnes, avec un rendement multiplié par 275 trente ans plus tard. Aujourd’hui, les territoires précédemment cités concentrent la production “made in USA” avec 850 cultivateurs dont la plupart sont rassemblés sous la bannière American Pistachio Growers, une organisation professionnelle à but non lucratif ; et les plantations se transmettent de générations en générations.

Cet article a été rédigé en collaboration avec americanpistachios.fr

Le signe astro du mois – Gémeaux

Les natifs des Gémeaux ont une prédilection pour la communication, les contacts.
« Comment va telle ou telle personne ? Étais-tu au courant de ceci ? Savais-tu cela ? » Sociables et enjoués, ils s’intéressent au monde qui les entoure.
Les Gémeaux savent se mettre à la place de l’autre. Pour cette raison, ils tissent rapidement des liens, parfois dès la première rencontre.
Les Gémeaux envisagent tout ce qui se présente à eux sous deux aspects différents et cherchent à distinguer le “vrai” du “faux”. C’est la raison pour laquelle ils s’abstiennent d’émettre des jugements hâtifs et préfèrent s’en tenir aux faits. Donc, quelquefois, ils peuvent sembler un peu distants ou superficiels.
De temps à autre, la flexibilité avec laquelle ils envisagent les rapports humains donne aux Gémeaux l’impression de se perdre eux-mêmes, ou de ne plus savoir qui ils sont réellement. Ils doivent donc veiller à préserver ce qui constitue le cœur de leur être.

Saison : le printemps
Couleur : jaune
Parties du corps (points sensibles) : les bras, les mains, le cerveau
Élément (ego/identité) : Air (contact, et tous les aspects de l’esprit)
Planète (archétype/personnage) : Mercure, “Le Messager”
Archétype : Le Conteur, Le Professeur, Le Journaliste, L’Être aux Multiples Facettes, Le Plaisantin
Maison (besoins/impulsions) : La Maison III – La Communication
Mantra : JE PENSE
Principal atout : la flexibilité
Piège : les caprices
Affirmation : Je me fie à la sagesse de l’Univers.
Pierres et cristaux : citrine (créativité et expression de soi), agate (ancrage) et jade (ouverture du cœur, aide à concrétiser ses idées)

Gémeaux célèbres : Angelina Jolie (4 juin 1975), Natalie Portman (9 juin 1981), Chris Evans (13 juin 1981)

Mots-clés : sociable, observateur, communicatif, curieux, émerveillement, intelligent, expressif, charmant, influençable, critique

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Texte Nicole Van Borkulo